Elles ne sont que deux sur scène et voilà que des créatures s’invitent pendant le
spectacle, semant une jolie cacophonie schizophrénique.
Il était une fois une histoire de prinçouzes. Sacrées bestioles que celles-là. Avec Jean-
Sébastien Bach comme fidèle compagnon, le mythe de la prinçouze est revisité,
habité, malmené dans la peau de plusieurs créatures. La raconteuse a bien du mal à
contenir tous ces personnages qui veulent à tout prix prendre leur place. Et pour dire
quoi ? Pour mettre en lumière de manière onirique et débridée la vie des artistes, leur
travail et leur créativité.
Être prinçouze, c’est juste oser être soi sur un plateau.
Prinçouzes est un objet qui tangue entre poésie musicale et folie joyeuse avec Estelle
Harbulot au violon et Sophie Courtois aux jeux.