Tombée sur le charme de la culture bretonne, Aya Kyono s’est prise de passion pour un instrument à la fois mystérieux et envoûtant : la harpe celtique.
Son histoire n’est pas ordinaire. Pianiste de formation, elle vit au Japon quand elle découvre à la télévision la chanteuse et musicienne Cécile Corbel. Emerveillée, elle décide de venir en France et plus précisément en Bretagne, pour apprendre non seulement à pratiquer ce nouvel instrument mais aussi à maîtriser la langue bretonne. Défi incroyablement relevé. « Avec l’aide d’un ami pour la prononciation » dit-elle malicieusement, elle a récemment enregistré un CD de chansons bretonnes oubliées, sous le nom d’Aya Telennmor.
Imprégnée de l’univers celtique, également enseignante de piano et de harpe dans différents établissements du Nord-Finistère dont l’école municipale de musique de Landivisiau, elle propose un programme de chansons en langue bretonne, gaëlique mais aussi japonaise, qu’elle chante en s’accompagnant à la harpe.
Concert proposé dans le cadre de l’exposition Avec plaisir de Maëlle Labussière